Hommage
A MON FRERE, BERNARD
(sur l’air de l’absence d’un ami de Gilbert Bécaud)
Elle est lourde à porter
l’absence de mon frère,
très dure à supporter
cett’ putain d’maladie
loin de ses souvenirs
privé de l’avenir
à n’en savoir que faire
qui s’étendent en poussière.
Est-ce pour le paradis
oserais-je le croire,
quand t’es parti Bernard ?
Lui qui encore hier
riait avec nous
quand on faisait les fous,
qui avait tant de projets
qui sont restés en l’air.
La mort est v’nu t’ cueillir,
t’as pas eu le temps de vieillir
quand t’es parti, mon frère
dans ta vie toute neuve
hélas trop tôt veuve.
Danièle, sa sœur
Danièle Brunner- 19-04-10