 | Madame Elisabeth SCHMITT née FISCHER Je pense à vous, Serge, Cyrille, Jérôme, Séverine et Dorine, la réalité est si injuste, si inacceptable, pourtant nous devons l’affronter. Je suis très triste et vous accompagne dans votre peine en imaginant le vide que vous ressentez. Vos larmes seules peuvent vous consoler, mais je vous envoie des forces pour vous aider à surmonter votre chagrin, ce dur moment et beaucoup de pensées d’amitié sincère. Je vous embrasse et vous soutiens avec toute mon affection.
|