Les messages

Michel JolyHommage

Pauline, Julie, le décès brutal de votre Papa me fait l’effet d'un coup d'un coup de masse !! Je le pleure avec vous,Je n'ai jamais rencontré au cours de mon existence une personne aussi complète qu'André.On dit souvent " il était gentil " Lui non c'était la gentillesse même à tous les instants !! Sa façon d'agir tout en réserve, sa manière d'aider avec ses multiples connaissances et compétences , bref quelqu'un d’exceptionnel qui payait de sa personne pour aider ou réconforter ceux qui l'approchait. Je ne parlerai pas de l' Amour qu'il vous portait,et quand nous nous retrouvions chez Max la discussion virait sur ce que faisaient nos enfants. Le souvenir d' André restera dans mon cœur, comme dans le votre à tout jamais !!
Françoise et moi présentons nos condoléances à toute la famille.
Je vous embrasse affectueusement, mimi .

Daniel BenedettiCondoléance

C'est avec une grande tristesse que j'ai appris le décès soudain de Thierry.
En ces moments difficiles je tenais à vous faire part de mes sincères condoléances et à partager votre peine.
Bien à vous.

Gaël CommunalHommage

Bonjour,

Je tiens à vous envoyer ce message afin de vous montrer mon soutien et vous présenter mes condoléances pour ce moment de séparation qui ne s'avère jamais facile.
Ma peine est partagée mais il faut laisser du temps pour que les bons souvenirs reviennent et apaisent les souffrances.
A vous tous et très particulièrement à toi Romain, je veux vous dire mon affection en ce moment . Sachez que mes pensées les plus sincères vous accompagnent.

Que notre maestro Romain repose en paix et qu'il soit fier de la joie et la bonne humeur qu'il a sue nous communiquer grâce à son naturel sourire.

Famille DUCHAMP Maurice et NOURRISSIER ChristelleCondoléance

C'est avec tristesse que nous avons appris le décès de Robert. Le deuil qui frappe votre famille nous émeut profondément. 
Nous n'avons pas l'audace de croire que ces quelques mots vont alléger votre peine mais nous tenions à vous exprimer toute notre amitié pour cette dure épreuve.
Nous vous prions de bien vouloir accepter nos sincères condoléances.

Nous vous embrassons bien affectueusement.

martial NOIREZHommage

mon chère oncle, tu nous a quitter il y a déjà 4 ans et tu nous manque toujours autant, ton corps n'est plus mais ton âme est toujours et sera toujours dans nos coeurs et dans la plus infime partie de nous...
Je t'aime tonton et a bientôt car se n'est pas un adieu mais juste une attente de se revoir et de se serrer dans les bras..
Quand se jour arrivera, nous serrons les plus heureux du monde ...
ton neveux qui a le coeur qui saigne de ta disparition ..tout le monde devrait avoir un oncle comme toi....

Martial NOIREZ

LP Marie ImmaculéeCondoléance

C'est avec une grande tristesse que nous avons appris le décès de Gabrielle. Nous vous prions de bien vouloir accepter ces quelques mots en gage de notre affection, de notre amitié et de notre soutien dans ces moments difficiles.
La douleur est grande pour notre lycée. En effet, l'image, l'accent alsacien, les petits rires, les grandes angoisses et les superbes sourires de Gabrielle resteront à jamais gravés dans nos mémoires.
Bouleversés par cet événement tragique, nous prenons part à votre peine ainsi qu'à celle de Justine, Ève et Fantine.
Les élèves, l'équipe éducative, la Direction et la Communauté des Sœurs vous présentent leurs sincères condoléances.

ALAIN THIENCondoléance

j,ai vraiment un enorme chagrin de ne pas le revoir pour l'instant.
Une pensee pour mon meilleur copain de jeunesse.
Aussi pour sa maman ginette,sa soeur sylvie et son frere jean jacques, puis à son papa que nous reverons plus tard
alain

DIDIER DUVOIDCondoléance

Claudine, Estelle et Audrey,
C'est réellement avec une vive émotion que ma femme et moi avons appris la disparition de Patrick dont l'image restera à jamais associée au basket et à sa bonne humeur. Nous partageons votre peine en ces moments douloureux et nous vous prions de bien vouloir accepter nos très vives condoléances.
Cordialement.
Didier et Céline DUVOID

Michelle et Sam DENDANICondoléance

Rentrant de vacances, nous avons appris avec consternation le départ définitif de Monsieur GEHIN et nous avons une pensée toute particulière pour son épouse Rosine notre aimable scrabbleuse. A Rosine et à toute sa famille nous adressons des condoléances avec l'assurance de nos prières pour le repos du défunt et le courage de ceux qui le pleurent. Le voilà enfin délivré des peines d'ici bas. Affectueusement à tous. Michelle et Sam

Sylvie DebrasHommage

Mon si cher Papa,
Tu n’es pas devenu soudain, d’un coup de goupillon magique, le bienveillant patriarche des contes de fées. Notre vie de famille a souvent été turbulente ! Mais comme l’a écrit ta petite-fille Ariane, « malgré tout, nous l’aimions et il nous aimait. Il restera gravé dans chacune de nos cellules. » Rien n’est plus vrai. Ce que nous voudrions garder de toi, c’est un peu de tes extraordinaires qualités.
D’abord, ton formidable appétit de vivre ! Que tu as gardé, malgré les deuils tragiques de ceux que tu as tant aimé. Celui de ta première femme et de votre enfant à naître. Celui de ton fils, Francis, notre frère unique et merveilleux. Mais la vie a continué et tu as su profiter de tous ses présents. Car tu avais une sacrée vitalité. « Une vraie force de la nature » selon Alice.
Nous voudrions garder de toi ton intelligence et ton courage. Tu avais « la religion du travail » pour reprendre tes mots. C’est à vélo que tu as commencé tes tournées. Parti de rien, tu t’es taillé une belle place au soleil. Tu avais le sens des affaires. Mais tu n’as jamais été un requin. Nous avons souvent parlé ensemble de ta politique du « gagnant-gagnant », même si le terme n’existait pas encore. Dans tes transactions, même si tu as beaucoup gagné, tu ne voulais pas de perdant. C’est pourquoi tes partenaires professionnels t’ont toujours tenu dans une profonde estime.
Battant dans l’âme, tu as été un vrai résistant ! C’est « tout naturellement », disais-tu, que tu es entré dans l’armée secrète en 1939-1945, parce que tu avais entendu l’appel du Général de Gaulle et que tu croyais profondément en la France, bien que de langue maternelle allemande à cause de l’histoire tourmentée de la Lorraine. Cela t’a valu la Légion d’Honneur à titre militaire, dont tu étais fier. Après avoir été agent de renseignement au deuxième bureau – un agent secret rusé et débrouillard, comme dans les films – tu as préféré quitter l’armée plutôt que d’être envoyé dans les colonies françaises. Tu croyais au droit des peuples à disposer d’eux-mêmes. Et tu n’as pas voulu être en désaccord avec tes propres convictions.
Nous voulons aussi parler de ta générosité. Parce que tu ne savais pas nous dire combien tu nous aimais, tu nous offrais des cadeaux. C’est dire si nous avons été gâtés ! Tu étais l’homme à qui l’on peut demander un service. Tu n’as ménagé ni ton porte-monnaie ni ta peine pour aider ceux qui en avaient besoin, proches ou pas.
Et puis, tu nous as transmis le goût du beau, que tu as exercé et travaillé tout au long de ta vie. Chacune et chacun d’entre nous, tes descendants, a une corde artistique à son arc, à commencer par Isabelle, la maîtresse du verre, et moi qui ai le goût du « bel écrire » selon ton expression. Tu écrivais avec bonheur, mêlant poésie et ironie.
La liste de tes qualités est longue encore, mais nous choisissons de terminer par ton ouverture sur le monde et ton goût des voyages. Il vient de loin, celui-là. Quand tu avais une douzaine d’années, tes excellents résultats à un concours général t’ont valu une récompense incroyable pour l’époque : une croisière sur la Méditerranée ! Dans les années 1920, le « fils de paysans » du Val de Guéblange s’est donc embarqué, avec quelques gamins brillants comme lui, sur un bateau de marchandises pour Malte, la Tunisie, la Grèce… Ton regard sur le monde en a été profondément changé. Le nôtre aussi.
Pour ta dernière partance, tu as choisi ton heure. Celle où la vie n’avait plus le goût que tu aimais. A la clinique de Gentilly, une jeune infirmière t’a fait un dernier compliment sur tes beaux yeux. Puis, tu as accepté de partir, sans angoisse, avec ton sens de l’humour intact. Entouré des tiens, tu es mort en pacha, comme tu as vécu. Pour seul bagage, tu emportes tout notre amour qui t’aidera, je l’espère, à t’élever vers le ciel où tu voulais aller.
Laxou, 4/09/2008

Agnès et Francis KOSIORCondoléance

Bonjour,

Je suis Agnès la petite fille de madame Paulette Gendarme, ma soeur Isabelle ( a travaillé avec Colette), Francis mon mari et ma mère Danièle Gendarme, se joignent à moi , apprenant la triste nouvelle prend part à votre peine et vous redit notre profonde affection.Condoléances sincères et attristées.
Amicalement,
Agnès,Isabelle, Francis et Danièle.

hocine djitliTémoignage

a la famille de serge mon cousin que je n ai jamais connu sauf dans les photos mes condoléance mon cousin serge a passe son service national a mansourah en 1958 il a même fait des photos avec ses oncle et cousin

celine claudotCondoléance

Jamais je ne t'oublirai chef...un beau pere exceptionnel... tu m'a acceuilli au sein de ta famille pendant un an...une annee rempli de discussion, de fou rire.... merci pour ce que tu m'a apporté...

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