Monsieur Pascal GILORMINI

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Domicilié à Ogy (57530, France)
Né à Laxou (54520, France) le mercredi 8 octobre 1969
Décédé à Ogy-Montoy-Flanville (57530, France) le mardi 21 mars 2023 à l'âge de 53 ans

Espace « condoléances » 

Cet espace condoléances a été créé le vendredi 24 mars 2023.

In memoriam

Cet espace « condoléances » est dédié à la mémoire de Monsieur Pascal GILORMINI. Chacun peut s’y recueillir, déposer une carte de visite ou un message de condoléances. Utilisez les liens ci-dessous pour consulter les marques de sympathie ou intervenir vous-même. 
N’hésitez pas à renseigner cette page à vos connaissances. Ceux qui sont loin ou qui n’ont pas la possibilité de se joindre à la cérémonie trouveront ici une façon simple de montrer leurs sentiments à la famille dans ce moment difficile. 
Merci d’avance. 

7 messages (3 privés)
 
Condoléances 

Toutes mes pensées à vous toutes et tous en cette période tragique.
La cérémonie était parfaitement à son image, sobre, décalée, pleine de douceur et de profondeur. Je vous embrasse de la part de la famille Chaumont-Ancé 🕯

Lorraine Chaumont- 29-03-23

Témoignage 

Les familles GILORMINI, BRAISAZ, JANICOT, ANCÉ, BOMBART, DODOS, MICHEL
remercient du fond du coeur toutes les personnes
qui par une présence, un geste, un message,
une pensée réconfortante,
se sont associées à leur peine après le décès de Pascal

Sandrine BRAISAZ- 12-04-23

Témoignage 

Texte écrit par sa compagne Sandrine, et lu par son beau-frère Jean-Luc lors des obsèques.

Quelques mots sur Pascal et ce qui lui importait

Pascal avait un immense besoin de contacts humains, et avait tissé de nombreux liens autour de lui.
Il aimait sortir pour rencontrer des gens, notamment au café FOX, refaire le monde ou échanger des blagues autour d’un café (avec un verre d’eau, toujours !)
Il s’est impliqué tout au long de sa vie dans plusieurs associations qui lui tenaient à cœur, pour venir en aide aux autres ou défendre leurs droits.

Il aimait les livres, et était actif au sein de la bibliothèque de sa commune quand il en avait la possibilité.
Il aimait découvrir et aider les nouveaux talents musicaux, et a modestement participé, via internet, au financement du premier album de quelques artistes, dont certains ne sont plus d’illustres inconnus aujourd’hui.

Son travail était une part importante de sa vie.
De son ancien emploi, Pascal avait conservé des amis, notamment Florence, Hubert, et surtout Paul, qui a toujours été un soutien, et qui s’inquiétait de ne plus avoir de réponse à ses messages. Etant en déplacement, il n’a malheureusement pas pu se joindre à nous aujourd’hui, mais nous accompagne en pensée.
A INGECAP ensuite, véritable renaissance pour lui, il a noué au fil des années des liens étroits au sein de l’entreprise, notamment avec Thomas, Catherine, Florent, Nathalie (pardon à ceux et celles dont j’ai oublié les prénoms), et des relations de sympathie auprès des secrétariats médicaux avec lesquels il a collaboré.

L’une des plus grandes fiertés de Pascal, même s’il avait un peu de mal à l’exprimer, reste la famille qu’il a créée. Cette famille, qu’on dit « re-composée », a toujours été et restera une famille.
Une famille riche de compter 3 fils de 3 mamans différentes, une belle-fille, et avec le compagnon de celle-ci, le « petit dernier » à ce jour, la famille évolue et s’enrichit encore.

Il était important pour Pascal que ses enfants, de sang et de cœur, puissent l’accompagner aujourd’hui avec des fleurs de son jardin. Ce sont des fleurs de printemps, celles de la vie.
Pascal nous quitte au printemps. Et la vie va continuer, avec son souvenir.

Sandrine BRAISAZ- 02-04-23

Hommage 

Texte écrit par Pascal, lu par son fils Antoine lors des obsèques

A mes parents qui m’ont appris à être gentil dans la vie,
A toutes les femmes que j’ai aimées, épousées (ou pas)
A mes enfants, ma famille, mes amis, mes copains,
A mes anciens collègues de l’IRSID, enfin ceux qui ont essayé de m’aider,
pas les managers ni les patrons
A mes collègues des restos du cœur de Metz Borny et d’Ingécap
A toutes celles, à tous ceux que j’ai aimés et côtoyés.
En souvenir de mon pote Jean-Luc le bouquiniste.

Je ne suis plus parmi vous et pourtant je suis encore un peu là.
Essayez de ne pas être tristes
Continuez à vivre, l’important est de s’occuper des vivants maintenant.
Moi je suis bien là où je suis.
Essayez de vous amuser et d’avoir du plaisir comme moi j’en ai eu dans ma vie.
Gardez moi une petite place dans vos cœurs et dans vos souvenirs,
comme ça je ne serai pas tout à fait mort.

Sandrine BRAISAZ- 02-04-23