Francine William BarryHommage
Chère Annick,
Si ton appel de samedi ne laissait pas de doute sur l’issue fatale de la maladie de Serge, la rapidité avec laquelle elle est survenue nous a pris au dépourvu.
Vous étiez pour nous des sortes de grands-frère et sœur qui importaient beaucoup à nos yeux, jamais nos contacts ne se sont relâchés
Serge était l’exemple d’une réussite dans le monde de l’entreprise ; par lui-même, battant, offensif, confiant en ses capacités et néanmoins avenant et attentionné.
Il nous manquera.
Nous savons combien il aimait la vie, combien il t’aimait autant qu’il aimait ses enfants petits-enfants et arrières petits-enfants.
Associés à votre douleur, recevez toutes nos pensées dans cette épreuve.