Frederic GODEFROYHommage
Nos cercles philosophiques respectifs avaient permis que je fasse ta connaissance à Luxembourg puis que tu te déplaces jusqu'à Verdun à plusieurs reprises, éclairant de tes lumières nos soirées formation...Notre dernière rencontre chez moi avec Cyrille l'été dernier nous rapprocha encore un peu plus. Ta culture, ton humour, ta finesse et ton regard lucide sur le monde vont me manquer cruellement, ô lumière d'Orient (dixit Pandore), merci de m'avoir permis de te côtoyer et d'avoir pu partager quelques moments en ta brillante compagnie.
Mes plus sincères condoléances