Monique JACQUEMINCondoléance
C'est du fond du coeur que je vous adresse mes condoléances. Comme Madame Thomas ne donnait des nouvelles pendant la terible période de la maladie de Monsieur Barreiro, je ne vous ai pas téléphoné, mais j'ai prié et je prie pour que la force de surmonter la douleur de cette dramatique épreuve soit donnée à chacun d'entre vous.
C'est si dur d'espérer pouvoir dire un jour "Seja feita a vassa vontade, as sim na terra como no céu".
Bien affectueusement.